date (*):
remarque (*): ____ L'élève écrit lors de l'explication et refuse d'arrêter L'élève joue tout le temps en classe. L'élève n'a pas appris ses leçons. L'élève n'a pas fait ses devoirs L'élève n'a pas ramené son cahier d'exercices. L'élève ne fait pas attention en classe. Comportement inapproprié au sein de l'établissement Comportement inapproprié au sein de la classe. heures de retenues L'élève est insolent L'élève n'a pas un langage correcte au sein de l'établissement L'élève n'écoute pas la consigne l'élève ne fait pas son travail comme il faut en classe. L'élève quitte la classe sans autorisation l'élève rigole pendant le cours en classe. la tricherie manque de respect
unité : ____ Économie DROIT ANGLAIS ARABE ART EMC ENSEGNEMENT MORAL ET CIVIL ENSEIG NUMERIQUE ENSEIG SCIENTIFIQUE Enseignement Artistique EPI ESPAGNOL FRANCAIS GEOPO GESTION HIST.GEO HISTOIRE GEO EMC/SCIENCES LV2 Management MATHEMATIQUES MATHS SPE MERCATIQUE MUSIQUE PHILO PHILOSOPHIE PHYSIQUE PHYSIQUE spe PRIMAIRE CE1 PRIMAIRE CE2 PRIMAIRE CM1 PRIMAIRE CM2 PRIMAIRE CP PRIMAIRE GS PRIMAIRE MS QUESTIONNER LE MONDE SES SES SES SPE STMG SVT SVT TECHNOLOGIE
commentaire (*):
Amine n'a pas appris le poème. Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu: « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant!
Amine n'a pas appris le poème.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?
Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;
Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Accroupis sous les dents d'une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre,
Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,
Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.
Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.
Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu: « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! »
O servitude infâme imposée à l'enfant!